Prothèses mammaires

Chirurgie pour prothèses mammaires à Uccle, Bruxelles

Sensualité et jeunesse grâce aux prothèses mammaires

INTRODUCTION

La poitrine, un des signes les plus importants de féminité, est souvent mise à mal au cours des années (grossesse, allaitement, variations de poids).

Le sein étant constitué de tissu glandulaire et de graisse, aucune gymnastique, crème, douche d’eau froide ou autre moyen n’auront donc d’impact sur sa forme, son volume, ou sa tenue dans le temps !

Seuls les prothèses mammaires peuvent répondre à un problème de poitrine trop petite ou en légère descente. Une chute plus importante ne sera compensée que par une opération de remontée de la poitrine (éventuellement combinée à une prothèse, si nécessaire).

Précisons également que votre centre esthétique à Bruxelles propose également le lifting mammaire, visant à redonner une forme ronde à la poitrine.

TYPES DE PROTHÈSES

Dans la grande majorité des cas, les prothèses mammaires sont remplies d’un gel de silicone, qui donne la consistance la plus naturelle.

Il est également possible d’utiliser des prothèses contenant du sérum physiologique, de consistance un peu plus molle, et ayant tendance à perdre de son contenu au fil des années, mais restant pour celles qui le désirent une alternative possible. Des prothèses à l’huile de soja ont également été essayées il y a quelques années.

Que penser de la prothèse en silicone ?

Depuis 1962, des millions de femmes ont bénéficié de prothèses de silicone, et cela sans problème apparent. En 1991, un jury américain statua qu’une patiente avait contracté un trouble du tissu conjonctif a la suite de la pose de ses implants mammaires.

Cela fit jurisprudence, et les médias aidant, les poursuites contre les fabricants de prothèses mammaires se mirent dès lors a pleuvoir et les gouvernements américain et canadien interdirent ces prothèses jusqu’à nouvel ordre, de manière à avoir le temps de faire les études statistiques nécessaires. La France suivit également. Devant l’évidente absence de preuve statistique, la Belgique ainsi que d’autres pays européens continuèrent à en implanter.

Suite aux très larges études effectuées depuis lors ayant montré l’absence de complications tant au niveau des cancers que des maladies auto-immunitaires.

La France a réintroduit les prothèses de silicone, tout comme l’Amérique.

Il convient de rappeler que toutes les seringues employées en milieu médical sont lubrifiés a la silicone (les diabétiques s´injectent environ trois grammes de silicone chaque année…), et que les implants testiculaires et péniens a base de gel de silicone ont continué à être implantés pendant tout ce temps sans éveiller la moindre contestation.

Cela dit, depuis quelques années, de nouvelles informations affluent plaidant pour une grande prudence quant au gel de silicone. Le chirurgien prendra le temps de vous expliquer tout cela et vous en remettra un document écrit.

POSSIBILITÉS D'INTRODUCTION DE LA PROTHÈSE

Par l’aréole : celle-ci ne doit pas être trop petite. La cicatrice, étant située dans la partie inférieure de l’aréole, reste très discrète.

Par le creux axillaire : c’est légèrement plus douloureux, mais le moins visible. C’est la voie d’entrée idéale si l’indication le permet.

Par le pli sous mammaire : le plus facile à positionner, mais la cicatrice est davantage visible.

POSITION DE LA PROTHÈSE

Devant le muscle  : en cas de ptose (descente) mammaire, ce qui permet de remonter la poitrine.Derrière le muscle  : chez des patientes plutôt minces, de manière à pouvoir bien masquer les bords de la prothèse mammaires.
En fonction du volume et de la forme des seins au départ, chaque voie d’abord et chaque position de la prothèse aura ses bonnes indications.Le chirurgien, en accord avec sa patiente après lui en avoir expliqué les raisons, choisira la situation et la voie d’introduction les mieux adaptées à son cas.

ANESTHÉSIE

Il s’agit d’une anesthésie locale, assistée d’un anesthésiste. Il n’y a pas d’hospitalisation.

LES SUITES OPÉRATOIRES

En fin d’intervention un pansement modelant (bandes élastiques) est confectionné.

Les suites opératoires peuvent être douloureuses les premiers jours, et la patiente peut ressentir une sensation de tension. Des analgésiques seront prescrits en cas de nécessité.

Gonflements et ecchymoses sont habituels, mais rapidement résorbables.

Le premier pansement est retiré au bout de 24 ou 48 heures, et est remplacé par un bustier élastique sur mesure(inclus dans le prix de l’intervention).

Celui-ci sera porté pendant un mois nuit et jour.

Les fils seront retirés après une et deux semaines.

Les activités normales peuvent être reprises après une semaine. Le sport, après un moi.

LES COMPLICATIONS POSSIBLES

Infection : évitable par une antibiothérapie préventive.Cicatrice épaissie ou rétractée : peut être traitée par des injections ou une excision.Coque (capsule fibreuse entourant la prothèse) pouvant donner une sensation de compression ou des problèmes esthétiques : doit être traitée par de la kinésithérapie, ou dans de rares cas, par une résection de cette coque.
Troubles de la sensibilité du mamelon, et douleur du sein sont rares mais possibles, et, sont souvent transitoires ou traitables par des analgésiques.Hématomes : se résorbent rapidement.Petit écoulement lacté : rare, et de courte durée.

EVOLUTION ET RÉSULTAT

La pose de prothèses mammaires n’empêchera pas le dépistage du cancer du sein, tout comme elle ne dispense pas de l’auto-examen des seins. Les mammographies de dépistage habituelles, recommandées à partir de 45 – 50 ans, permettent d’ailleurs de vérifier dans le même temps l’état des implants.

Une parfaite symétrie des deux côtés sera le but recherché, même si de petites différences sont parfois possibles, comme c’est d’ailleurs souvent le cas dans la nature. En cas de saignement, il est possible que la prothèse se déplace dans sa loge, nécessitant une petite correction pour la remettre exactement en place.

Le résultat est visible directement. Vu le gonflement initial, il se jugera réellement au terme de trois mois.

Le vécu des résultats peut être variable d’une patiente à l’autre, car il sera conditionné par :

– une bonne analyse de la forme initiale de la poitrine et de la demande de la patiente.

– une information claire, précise, exacte et complète concernant les corrections espérées et les quelques complications possibles.

– la positivité de l’entourage

Mais dans la grande majorité des cas, le résultat sera largement à la hauteur des espérances …

N’hésitez pas à contacter votre clinique de chirurgie esthéthique à UccleBruxelles pour en savoir plus sur la chirurgie mammaires.

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